Description
Avant que les ours polaires ne deviennent les symboles du réchauffement climatique, j’avais dans l’idée que ce devaient être les icebergs. Ces masses de glace flottant à la dérive sont impressionnantes. Le sujet offre ici une face verticale vue plein cadre, frontale, avec une lumière latérale qui la fait briller. Par contraste, la mer semble d’encre et le ciel anthracite. Il a dû casser, fondre partiellement et geler encore, ce qui donne à sa surface ces plis assez doux, comme la peau fatiguée d’un vieil être.
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