Un groupe de trois gaterins se repose au dessus d’une table de corail, face au courant. L’un d’eux a un faciès étrangement humain. On dirait un personnage de bande dessinée, avec un nez et une moustache, qui a l’air plutôt déprimé. C’est en fait probablement le survivant d’une partie de pêche qui garde une grosse cicatrice (j’imagine que l’hameçon a pu être arraché en lui découpant la lèvre et une partie de la joue). L’ambiance chromatique est feutrée, ce qui n’empêche pas un jeu intéressant de reflets sur la peau brillante des poissons blancs.